Qui dit que la migraine est incurable ?

Migraine sans aura (migraine commune) : elle représente environ 85 % des cas de migraines. Elle se caractérise par des nausées avec ou sans vomissements. L’attaque peut être violente et pulsative ou sourde et continue, donnant l’impression d’un « poids de plusieurs kilos sur la tête ». Le mouvement, la toux, les efforts ou l’exposition à la lumière aggravent la douleur. La personne souffrant de migraine préfère généralement rester allongée dans le noir et au calme. La durée des épisodes varie de quelques heures à trois jours.

Migraine avec aura (migraine classique) : elle représente environ 14 % des cas. Elle se distingue par la présence de signes prémonitoires tels qu’hypersensibilité à la lumière ou au bruit, troubles visuels ou perception de lignes scintillantes. La durée des attaques varie de 4 à 24 heures.

Comme déjà mentionné, la médecine conventionnelle préfère considérer la migraine comme une maladie neurologique, en se concentrant exclusivement sur des solutions pharmacologiques.

Cette approche empêche d’explorer d’autres pistes, autrement il aurait été découvert ce que nous affirmons depuis plus de dix ans : un Atlas désaligné comprime les artères et les veines avoisinantes, provoquant un déséquilibre circulatoire cérébral, qui, seul ou combiné à d’autres facteurs, peut déclencher des maux de tête, des migraines et divers autres problèmes de santé.

Une étude réalisée sur 504 candidats par le Professeur Dr Hans-Joachim Theis de l’institut Inkam en Allemagne montre que la méthode Atlantomed, basée sur le réalignement de la première vertèbre cervicale, améliore l’état de santé de 82 % des personnes souffrant de migraines. Dans 39 % des cas, la migraine disparaît complètement ! Connaissez-vous d’autres méthodes capables de faire cela ?

Les patients souffrant de céphalées ou de migraines consultent généralement leur médecin avec l’espoir d’être GUÉRIS. Ils découvrent rapidement que la notion de guérison telle que l’entend le médecin est très différente de la leur.

Le médecin apprend que le traitement à administrer en cas de migraine doit consister à supprimer les symptômes et la douleur. Avec une bonne dose de myopie, il ignore que le symptôme reviendra si la cause sous-jacente n’est pas recherchée et résolue.

Le médecin interroge le patient, recueille ses antécédents médicaux, puis diagnostique un type de migraine ou de céphalée dans le but de prescrire le « meilleur » médicament.

Une cure définitive, telle qu’espérée par le patient, n’est même pas envisagée. Étant donné que la médecine conventionnelle part du principe que la migraine est incurable, elle s’obstine à suivre la même voie infructueuse. Trouvez-vous acceptable de réduire la douleur pour quelques heures au prix d’effets secondaires graves ?

Il devrait être évident pour tout le monde que l’industrie pharmaceutique n’a aucun intérêt à trouver un remède définitif à la migraine ou à d’autres troubles : un patient « à vie » est bien plus rentable qu’un patient définitivement guéri !

• stress
• maladie
• manque de sommeil
• changements hormonaux
• subluxation vertébrale
• désalignement de l’Atlas
• air vicié ou climatisation
• malocclusion dentaire
• allergies alimentaires (intolérances alimentaires)
• alcool, chocolat, fromages, aspartame, glutamate de sodium (E621)
• changement rapide des conditions météorologiques (pression atmosphérique, température, humidité)

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L'accumulation de ces facteurs ou d'autres, qui ensemble dépassent une certaine limite, déclenche une crise de migraine. Les différents facteurs déclencheurs ne sont pas constants, mais peuvent changer d'importance au cours de la vie. Un exemple est le changement hormonal dû à la ménopause ou à la grossesse, qui dans certains cas réduit la fréquence des migraines, met fin aux crises ou, au contraire, les déclenche.

Les facteurs mentionnés ci-dessus semblent moins influents par rapport au désalignement de l'Atlas. L'expérience a en effet montré qu'en corrigeant la position de la première vertèbre, très souvent, les autres facteurs ne suffisent plus à déclencher une crise de migraine. Ce qui auparavant représentait la goutte qui faisait déborder le vase n'est désormais plus capable à elle seule d'atteindre la limite critique fatidique.

Il n'est pas rare d'observer des femmes souffrant de migraines en relation avec le cycle menstruel, qui, après avoir cru pendant des années que leur migraine était purement hormonale, ont dû complètement changer d'avis après la correction de l'Atlas.

Le désalignement de l'Atlas étant un problème purement mécanique, lorsqu'il est résolu, il peut arriver que la migraine ou le mal de tête disparaisse presque immédiatement. Parfois, une phase de régénération est nécessaire, ce qui demande un peu de patience.

Ceux qui se libèrent soudainement de leur migraine après des années de souffrance et de tentatives infructueuses restent complètement abasourdis et incrédules. Comme s'ils étaient paradoxalement attachés à elle, ils ressentent un vide, incapables de croire que leur « compagnon » indésirable les a enfin quittés.