Que faire contre le mal de tête au lieu de prendre continuellement des médicaments ?

La composante psycho-émotive associée au mal de tête

• Anxiété ou peur constante
• Difficulté à « se laisser aller » dans la vie
• Peur de « perdre la tête »
• Attitude constamment « méfiante »
• Tendance à ressasser continuellement, se retrouvant écrasé par ses propres pensées
• Volonté de tout contrôler
• Les situations imprévues deviennent une source de stress
• Tendance à tout planifier
• Assumer de grandes responsabilités au détriment de sa propre sérénité
• Être perfectionniste et hypercritique

Les différentes classifications du mal de tête

La différence entre migraine et mal de tête réside dans le fait que la migraine touche un seul côté du crâne, tandis que le mal de tête commun concerne tout le crâne.

Dans les textes médicaux, le mal de tête est classé dans les catégories suivantes :

Mal de tête de tension ou céphalée de tension : c’est la forme la plus fréquente de mal de tête, représentant environ 70 % des céphalées.

Migraine commune (sans aura) : elle affecte 25 % des personnes souffrant de céphalées. Les attaques de migraine surviennent sans symptômes précurseurs.

Migraine classique (avec aura) : elle affecte 4 % des personnes souffrant de céphalées. Les attaques de migraine sont précédées de symptômes précurseurs, généralement des troubles de la perception visuelle ou sensorielle.

Céphalée en grappe

Céphalée en grappe : elle représente environ 1 % des cas de mal de tête. Elle se caractérise par une douleur d’une extrême intensité, très invalidante, qui se manifeste soudainement, généralement autour d’un œil ou de la tempe.

La douleur de la céphalée en grappe peut être si intense que la personne touchée voudrait littéralement se cogner la tête contre le mur, allant jusqu'à envisager le suicide.

Une crise de céphalée en grappe dure généralement quelques minutes, mais peut se répéter jusqu'à 10 fois ou plus en l’espace de 24 heures. Pour cette raison, elle est appelée « céphalée en grappe ».

Résultats du traitement Atlantomed sur le mal de tête

Une étude menée sur 504 candidats par le Prof. Dr. Hans-Joachim Theis de l’institut Inkam en Allemagne, démontre que la méthode Atlantomed de réalignement de la première vertèbre cervicale apporte une amélioration dans 87 % des cas, avec un taux de disparition totale du mal de tête de 21 %.

Ces résultats obtenus sur le mal de tête sont remarquables, surtout en comparaison avec ceux des traitements pharmacologiques. Aucune autre méthode n’a jusqu'à présent permis d’atteindre des résultats à long terme d’une telle ampleur.

Ce résultat est d’autant plus significatif qu’il s’agit d’un traitement ponctuel et non d’une thérapie à long terme.

Pourquoi la correction de l’Atlas agit-elle sur les maux de tête ?

Les résultats positifs sur les céphalées peuvent être attribués à trois raisons principales :

• Une meilleure vascularisation et donc une meilleure oxygénation du cerveau. Lorsque l’Atlas retrouve sa position correcte, il cesse d’interférer avec l’afflux et le reflux du sang vers le cerveau, apportant des bénéfices à tout le système circulatoire. L’amélioration de la circulation, associée aux effets bénéfiques sur le système nerveux autonome, conduit souvent à la résolution spontanée du problème des mains ou des pieds constamment froids.
• Un meilleur alignement vertical de la tête et de la posture en général réduit considérablement la tension musculaire au niveau du cou et des épaules, avec un effet décisif sur le mal de tête de tension.
• L’élimination du « goulot d’étranglement » qui comprime et irrite des nerfs crâniens importants passant au niveau de l’Atlas, en particulier le nerf vague, le nerf accessoire du vague, ainsi que les deux nerfs suboccipitaux, le nerf occipital mineur C1 et le nerf occipital majeur C2, dont l’irritation provoque la névralgie d’Arnold.

Mal de tête : pourquoi choisir Atlantomed ?

De nombreuses personnes rapportent qu’après le traitement, elles ne ressentent plus cette désagréable sensation de pression dans la tête et éprouvent un profond sentiment de libération.

La réduction ou la disparition des maux de tête peut survenir immédiatement après la correction de l’Atlas ou même plusieurs mois plus tard, une fois la phase de régénération terminée.

Ceux qui se libèrent soudainement de leurs maux de tête, après des années de souffrance et de tentatives infructueuses, restent souvent complètement abasourdis et incrédules. Comme s’ils y étaient étrangement attachés, ils ressentent un vide, incapables de croire que leur « compagnon » indésirable les ait quittés.

Pour le spécialiste Atlantomed, il est toujours gratifiant d’entendre les témoignages de personnes qui se sont enfin libérées de maux de tête chroniques ou d’autres douleurs dont elles souffraient depuis des années, après que tous les autres traitements aient échoué.

Un médicament peut être utile en cas de crise, mais il ne peut certainement pas être utilisé comme solution permanente pour une céphalée récurrente. Il est essentiel d’identifier et de résoudre définitivement la cause, bien qu’il soit désormais évident que les entreprises pharmaceutiques n’aient aucun intérêt à le faire.

Compte tenu du taux de réussite élevé, nous pensons que la vérification de l’Atlas, suivie du traitement Atlantomed si nécessaire, devrait être la première option pour ceux qui souffrent de maux de tête. Si aucune amélioration n’est obtenue, il sera toujours possible de recourir à d’autres interventions.

Vidéos témoignages sur les maux de tête

Témoignages après le réalignement de l’Atlas

Quelques témoignages du forum sur les maux de tête

• Alessandra : Disparition de la cervicalgie et des maux de tête
• Rexi1994 : Solution au problème de CEFALEE
• Selken77 : Maux de tête : solution DÉFINITIVE !
• Dlaudonia : Je n’ai plus de maux de tête
• Mariabarone : MAL DE TÊTE DISPARU !!!!!
• Raffaele : Céphalée / Maux de tête… CHRONIQUES !
• d’autres témoignages sur les maux de tête

Littérature scientifique sur les maux de tête

• Maux de tête occipitaux provenant de l’articulation atlanto-axoïdienne latérale (C1±2).
• Céphalée cervicogénique : preuves que le cou est un générateur de douleur.
• Trouble de l’écoulement veineux de la jugulaire interne.
• Diagnostic différentiel des maux de tête dans la population atteinte d’EDS et de Chiari.
• Rôle des branches articulaires de C2 dans les maux de tête occipitaux.
• L’articulation atlanto-axoïdienne latérale comme source de maux de tête.
• Traitement de la céphalée cervicogénique par injection de stéroïdes épiduraux cervicaux.
• Blocage du nerf occipital pour céphalée cervicogénique.
• Déséquilibre du muscle sternocléidomastoïdien chez un patient souffrant de maux de tête récurrents.
• Facette cervicale supérieure pour le traitement de la céphalée cervicogénique.
• Association chinoise pour l’étude de la douleur (CASP).
• Le cou et les maux de tête.
• Céphalée cervicogénique : évaluation des preuves.